
Parution : 2025
96 pages
Version papier : ISBN 9782890246683 – 20,95 $
Version PDF : ISBN 9782890246690 – 15,99 $
Version ePub : ISBN 9782890246706 – 15,99 $
Le journal d'une folle
Collection «hors collection»
EN LIBRAIRIE DÈS LE 22 MAI
Introuvable depuis des décennies, pour ne pas dire disparu, Le journal d’une folle de Marie Savard (1936-2012), poète, chansonnière, dramaturge, est le premier livre paru aux Éditions de la Pleine Lune. C’est aussi le premier livre féministe publié au Québec. Dans le cadre du 50e anniversaire de la maison d’édition cofondée par Marie Savard, cet ouvrage est réédité aujourd’hui dans une version identique à celle de 1975.
En décembre 1981, Le journal d’une folle a été présenté au café-théâtre L’Ex-Tasse dans une mise en scène audacieuse de Louise Laprade, avec les comédiennes Marie Tifo et Madeleine Arsenault. Jacques Larue-Langlois écrivait dans Le Devoir du 16 décembre 1981 : « Il y a chez Marie Savard cette folle totale qui masque au premier abord la révolte féministe et derrière laquelle se cache, comme par pudeur, la femme qui en a assez de se faire fourrer sur tous les plans. »
La trame de fond qui traverse toute l’œuvre de Marie Savard est posée dans Le journal d’une folle : prise de parole, dénonciation de l’oppression des femmes. Ce livre, qui nous transporte aux profondeurs d’un drame humain, dans un délire poétique de haute voltige, transgresse les tabous associés à la folie des femmes en dénonçant l’isolement et le manque de ressources en santé mentale qui les affligent. Mais Le journal d’une folle va plus loin, c’est un cri, une révolte globale qui hurle et refuse tout carcan et toute dépossession du corps et de la vie des femmes. Une telle écriture, rebelle et insoumise, qui ne manque pas d’humour, pleine de jeux de mots, d’éclats de rire et de sarcasmes, ne peut s’inscrire que dans une marginalité nécessaire.
L’écriture de Marie Savard est une parole poétique qu’on ne peut ranger sous aucune bannière et qui toujours, indomptable et lucide, tourne en dérision l’imaginaire dominant de la culture. Le journal d’une folle demeure une œuvre forte et intemporelle.
Introuvable depuis des décennies, pour ne pas dire disparu, Le journal d’une folle de Marie Savard (1936-2012), poète, chansonnière, dramaturge, est le premier livre paru aux Éditions de la Pleine Lune. C’est aussi le premier livre féministe publié au Québec. Dans le cadre du 50e anniversaire de la maison d’édition cofondée par Marie Savard, cet ouvrage est réédité aujourd’hui dans une version identique à celle de 1975.
En décembre 1981, Le journal d’une folle a été présenté au café-théâtre L’Ex-Tasse dans une mise en scène audacieuse de Louise Laprade, avec les comédiennes Marie Tifo et Madeleine Arsenault. Jacques Larue-Langlois écrivait dans Le Devoir du 16 décembre 1981 : « Il y a chez Marie Savard cette folle totale qui masque au premier abord la révolte féministe et derrière laquelle se cache, comme par pudeur, la femme qui en a assez de se faire fourrer sur tous les plans. »
La trame de fond qui traverse toute l’œuvre de Marie Savard est posée dans Le journal d’une folle : prise de parole, dénonciation de l’oppression des femmes. Ce livre, qui nous transporte aux profondeurs d’un drame humain, dans un délire poétique de haute voltige, transgresse les tabous associés à la folie des femmes en dénonçant l’isolement et le manque de ressources en santé mentale qui les affligent. Mais Le journal d’une folle va plus loin, c’est un cri, une révolte globale qui hurle et refuse tout carcan et toute dépossession du corps et de la vie des femmes. Une telle écriture, rebelle et insoumise, qui ne manque pas d’humour, pleine de jeux de mots, d’éclats de rire et de sarcasmes, ne peut s’inscrire que dans une marginalité nécessaire.
L’écriture de Marie Savard est une parole poétique qu’on ne peut ranger sous aucune bannière et qui toujours, indomptable et lucide, tourne en dérision l’imaginaire dominant de la culture. Le journal d’une folle demeure une œuvre forte et intemporelle.
Échos des médias
« Cette œuvre ne peut être « qu’irrécupérable parce que son souffle ne joue ni d’un esthétisme, ni d’un savoir, ni d’une séduction conforme à l’éthique du pouvoir. »
Élaine Audet, La passion des mots
Élaine Audet, La passion des mots
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