Larmes de fond
Collection «Littérature»
Dominique Blondeau réussit à construire, avec les mêmes événements, trois histoires différentes qui s'entrecroisent habilement, nous donnant la version des faits de chacun de ses personnages. Où est la vérité ? Que s'est-il vraiment passé ?
On est en novembre. Il pleut. La nuit tombe vite. Julia, Ulla Sylvia et Agnès se réunissent ce soir pour célébrer les cinquante ans de cette dernière. C'est l'occasion pour chacune d'évoquer des souvenirs communs, des joies et des peines partagées. Mais chacune préserve jalousement son jardin secret, se livrant timidement, craignant de blesser l'autre ou d'être incomprise
Autour de cette table de fête, comme au théâtre, en plus des convives, il y a leurs démons intérieurs et tous les fantômes qui peuplent leurs souvenirs.
On est en novembre. Il pleut. La nuit tombe vite. Julia, Ulla Sylvia et Agnès se réunissent ce soir pour célébrer les cinquante ans de cette dernière. C'est l'occasion pour chacune d'évoquer des souvenirs communs, des joies et des peines partagées. Mais chacune préserve jalousement son jardin secret, se livrant timidement, craignant de blesser l'autre ou d'être incomprise
Autour de cette table de fête, comme au théâtre, en plus des convives, il y a leurs démons intérieurs et tous les fantômes qui peuplent leurs souvenirs.
Échos des médias
« Dans ce huis clos rassemblant trois femmes qui abordent le mitan de la vie avec une angoisse qui finira par unir leurs solitudes, les lecteurs fidèles reconnaîtront l'acuité de Blondeau au moment de sonder un passé inévitablement trouble. »
Catherine Morency, Le Devoir
« Pour ne rien bousculer, il vaut mieux entrer dans l'univers romanesque de Dominique Blondeau sur la pointe des pieds. Tout y est doux, feutré, de teintes pastel. [...] L'écriture de Dominique Blondeau est à l'opposé même de ce qui fait mode [...]. Nous sommes ici plutôt dans la lenteur, les demi-teintes et une certaine langueur qui n'est pas sans sensualité. [...] Dans ce registre tout en nuances et délicatesses, Mme Blondeau atteint au meilleur de son art. »
Réginald Martel, La Presse
Catherine Morency, Le Devoir
« Pour ne rien bousculer, il vaut mieux entrer dans l'univers romanesque de Dominique Blondeau sur la pointe des pieds. Tout y est doux, feutré, de teintes pastel. [...] L'écriture de Dominique Blondeau est à l'opposé même de ce qui fait mode [...]. Nous sommes ici plutôt dans la lenteur, les demi-teintes et une certaine langueur qui n'est pas sans sensualité. [...] Dans ce registre tout en nuances et délicatesses, Mme Blondeau atteint au meilleur de son art. »
Réginald Martel, La Presse
Voir aussi
Le train s'arrête toujours quelque part
Collection «PLUME»
176 pages
Parution : 2022
22,95 $
Sous l'aile du Corbeau
Collection «Traduction»
320 pages
Parution : 2010
29,95 $
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