
Parution : 2009
180 pages
Version papier : ISBN 9782890241947 – 20,95 $
Version PDF : ISBN 9782890242869 – 15,99 $
Version ePub : ISBN 9782890243774 – 15,99 $
De quelques défauts qui font les humains
Collection «PLUME»
Dans les vingt récits de ce recueil, Salah Benlabed suit la piste des humbles et des naïfs, des patients et des résignés, des sages aussi ; de ceux, en fait, qui se fondent dans la foule, ici et ailleurs, et dont on ne raconte pas les histoires.
Leurs chemins s'entrecroisent de façon fortuite : indifférents, curieux ou stupéfaits, ils se retrouvent dans une même ville, prennent un même taxi, regardent passer un même avion et partagent, parfois sans se le dire, des peines et des rêves identiques ...
C'est peut-être cette part d'humanité présente chez tous ces personnages, d'où qu'ils viennent, qui peut expliquer le miracle de la survie de notre espèce, si encline au mensonge et à l'aveuglement.
Leurs chemins s'entrecroisent de façon fortuite : indifférents, curieux ou stupéfaits, ils se retrouvent dans une même ville, prennent un même taxi, regardent passer un même avion et partagent, parfois sans se le dire, des peines et des rêves identiques ...
C'est peut-être cette part d'humanité présente chez tous ces personnages, d'où qu'ils viennent, qui peut expliquer le miracle de la survie de notre espèce, si encline au mensonge et à l'aveuglement.
Échos des médias
« Salah Benlabed cherche à réconcilier [...
] son combat humaniste et l'uvre littéraire. Il ne redoute pas un lyrisme certain, cadence ses phrases, tendant de plus en plus vers une écriture qui devient voix. »
Suzanne Giguère, Le Devoir
Suzanne Giguère, Le Devoir
Voir aussi

Nouvelles d'Abitibi
Collection «Littérature»
178 pages
Parution : 1998
19,95 $


Vos commentaires
Soumettre votre commentaireMon livre favori était : De quelques défauts qui font les humains. Je l'ai perdu lors d'un de mes nombreux déménagements (comme lui, j'ai mené une vie nomade), alors je ne me rappelle plus tous les titres de cette collection de nouvelles.
Chaque nouvelle avait un titre (mon favori : La Naïveté), ce qui voulait dire qu'il ne se contentait pas de raconter une histoire mais qu'il parlait d'un ''sujet''. Un sujet qui touchait parce qu'il est universel.
J'allais justement lui écrire parce que je voulais le citer comme exemple dans un travail universitaire sur la littérature - comme j'ai parfois manqué d'exprimer ma gratitude à des professeurs au lycée qui m'ont aidé à grandir - intellectuellement et comme personne.
Je ne l'ai rencontré que quelques fois, dans un contexte autre que ''littéraire'' mais il avait pris le temps de parler de livres avec moi et de regarder mes quelques écrits.
Et puis, on était tous les deux ''étrangers'' au Québec, avec toute la nostalgie qu'on traîne avec soi. Même si on y est bien.
Il restera dans ma mémoire.
Elgard Weisse