
Parution : 2018
168 pages
Version papier : ISBN 9782890245105 – 21,95 $
Version PDF : ISBN 9782890245112 – 15,99 $
Version ePub : ISBN 8782890245129 – 15,99 $
Courtes scènes fugitives
Collection «PLUME»
Il y a le Paris des romantiques et celui des amoureux. Le Paris des Années folles. Le Paris des poètes et le Paris de Dany Laferrière. Il y a aussi le Paris des grandes gares, le Paris des attentats, le Paris de toutes les cultures et celui des migrants. Et il y a ce Paris de tous les jours, dans ses bruits quotidiens et dans l’inattendu des rencontres, ce Paris où Marie Ouellet a vécu 10 ans, ce Paris qui l’habite toujours.
Accompagnées de 44 dessins de Lisa Burg, ces 44 « courtes scènes », instants fugitifs dérobés au temps qui court, proposent une galerie de portraits captés sur le vif par une promeneuse à l’écoute de la rumeur de la ville. Au fil de ses promenades, elle jette un regard attendri sur les passants qu’elle croise, les vendeurs de journaux au coin des rues, les saltimbanques dans le métro et les Parisiens qui discutent inlassablement dans les cafés.
Citadine curieuse et passionnée, Marie Ouellet s’emploie à tâter le pouls de cette ville et de cette société moderne, cosmopolite et bigarrée. Et elle s’amuse à inventer des vies à ces femmes, hommes et enfants, certains à la rue, d’autres venus d’ailleurs, d’Afrique ou d’Europe de l’Est, d’autres encore nés tout près dans les HLM ou les quartiers chics, qui vivent ensemble envers et contre tout. Raconter ce monde qui la touche tant, écrire la vie qui bat partout, sans prétention, mais avec la poésie qui sauve et, en filigrane, un pied de nez aux bien-pensants. Libre et aimante, telle est sa vision. Il est mille manières de prendre le pouls d’une cité. On peut l’arpenter. On peut la photographier. On peut aussi l’écouter. Marie Ouellet affiche une prédilecion indéniable pour les sons. Et c’est infiniment intéressant à entendre… et à lire…
Accompagnées de 44 dessins de Lisa Burg, ces 44 « courtes scènes », instants fugitifs dérobés au temps qui court, proposent une galerie de portraits captés sur le vif par une promeneuse à l’écoute de la rumeur de la ville. Au fil de ses promenades, elle jette un regard attendri sur les passants qu’elle croise, les vendeurs de journaux au coin des rues, les saltimbanques dans le métro et les Parisiens qui discutent inlassablement dans les cafés.
Citadine curieuse et passionnée, Marie Ouellet s’emploie à tâter le pouls de cette ville et de cette société moderne, cosmopolite et bigarrée. Et elle s’amuse à inventer des vies à ces femmes, hommes et enfants, certains à la rue, d’autres venus d’ailleurs, d’Afrique ou d’Europe de l’Est, d’autres encore nés tout près dans les HLM ou les quartiers chics, qui vivent ensemble envers et contre tout. Raconter ce monde qui la touche tant, écrire la vie qui bat partout, sans prétention, mais avec la poésie qui sauve et, en filigrane, un pied de nez aux bien-pensants. Libre et aimante, telle est sa vision. Il est mille manières de prendre le pouls d’une cité. On peut l’arpenter. On peut la photographier. On peut aussi l’écouter. Marie Ouellet affiche une prédilecion indéniable pour les sons. Et c’est infiniment intéressant à entendre… et à lire…
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