
Prix et mentions
Prix « Découverte » du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean 2016
Finaliste au Grand Prix littéraire Archambault 2016
Finaliste au Grand Prix littéraire Archambault 2016
Parution : 2015
80 pages
Version papier : ISBN 9782890244474 – 16,95 $
Version PDF : ISBN 9782890244481 – 11,99 $
Version ePub : ISBN 9782890244498 – 11,99 $
Choisir Éléonore
Collection «PLUME»
Ce roman retrace l’histoire d’une amitié à sens unique où la toile de fond est celle d’une tragique solitude. Andrée A. Gratton y explore le syndrome de l’illusion délirante d’être aimé. La narration à la première personne s’est imposée d’emblée, dit-elle, son ambition étant de créer une forme de malaise devant l’aveuglement troublant de la narratrice et de ses fabulations.
Ce roman est donc centré sur deux personnages, deux jeunes femmes : Éléonore et Marianne. C’est Marianne qui raconte. Dès la première phrase, on sent que quelque chose cloche chez elle dans sa perception de la réalité. « Bien avant que l’on se rencontre, Éléonore rêvait de moi, affirme-t-elle. » Mais qui donc est cette Éléonore rencontrée par hasard dans la rue et à qui Marianne n’a jamais adressé la parole? Qu’a-t-elle de si fascinant?
Pourquoi choisir Éléonore? L'attendre, couchée en chien de fusil au pied de sa porte close. L'épier. La suivre. La pourchasser. La harceler. Et surveiller ses amants et ses maîtresses. Ni les humiliations ni les rebuffades, ni le rejet, rien ne détourne Marianne de sa certitude d’être aimée par Éléonore.
Au fil des aventures de Marianne et de ses inventions, Andrée A. Gratton réussit à rendre tangible la solitude et la candeur de son héroïne. Avec un style vif et réaliste, doublé d’un rythme envoûtant, elle nous tient en haleine jusqu’au dénouement troublant qui montre toute l’ampleur que peut prendre une obsession délirante. Difficile de refermer ce livre fascinant une fois qu’on l’a commencé.
Ce roman est donc centré sur deux personnages, deux jeunes femmes : Éléonore et Marianne. C’est Marianne qui raconte. Dès la première phrase, on sent que quelque chose cloche chez elle dans sa perception de la réalité. « Bien avant que l’on se rencontre, Éléonore rêvait de moi, affirme-t-elle. » Mais qui donc est cette Éléonore rencontrée par hasard dans la rue et à qui Marianne n’a jamais adressé la parole? Qu’a-t-elle de si fascinant?
Pourquoi choisir Éléonore? L'attendre, couchée en chien de fusil au pied de sa porte close. L'épier. La suivre. La pourchasser. La harceler. Et surveiller ses amants et ses maîtresses. Ni les humiliations ni les rebuffades, ni le rejet, rien ne détourne Marianne de sa certitude d’être aimée par Éléonore.
Au fil des aventures de Marianne et de ses inventions, Andrée A. Gratton réussit à rendre tangible la solitude et la candeur de son héroïne. Avec un style vif et réaliste, doublé d’un rythme envoûtant, elle nous tient en haleine jusqu’au dénouement troublant qui montre toute l’ampleur que peut prendre une obsession délirante. Difficile de refermer ce livre fascinant une fois qu’on l’a commencé.
Échos des médias
« Avec Choisir Éléonore, Andrée A. Gratton propose une histoire déstabilisante où l'amitié tourne à la folie. Incursion fascinante dans un monde psychotique, ce roman se joue du malaise engendré par la narratrice qui s'imagine être la meilleure amie d'une inconnue rencontrée dans une rue à qui elle s'attache de façon obsessive. Il s'agit d'un texte captivant par l'étrangeté de l'univers parallèle dans lequel s'enferme le personnage central. Paradoxalement, cette infirmière sombre dans la maladie mentale sans que son entourage ne réagisse. Elle ne s'épargne aucune humiliation pour plaire à cette âme sœur idéalisée. Désir de fusion, solitude extrême, isolement sans fond, cette fiction suscite de fortes émotions et donne à réfléchir au fondement de toute relation. » Jury du Prix littéraire Découverte du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean 2016
« Marianne est une jeune femme seule. Trop seule. Lorsqu’elle croise Éléonore, Marianne décide qu’elles seront les meilleurs amies du monde, même si elles ne se connaissent pas du tout. Dans cette amitié à sens unique qui n’a aucun sens pour Éléonore, on découvre une relation curieuse, parfois touchante, mais plus souvent rude et abrupte. On sent le malaise grandir et on est curieuse de voir où cela les mènera. Un premier roman fort réussi. »
Julie Roy, Coup de pouce
« Ce premier roman d’Andrée A. Gratton repose sur le sentiment oppressant d’une humiliation imminente. Comme dans Hosanna de Michel Tremblay, notre lecture est tendue dans l’appréhension du moment où la mesquinerie va exploser pour mordre les jarrets de la naïveté. Il est difficile de refuser notre empathie à Marianne malgré sa quête monomaniaque, sans doute parce que derrière ses excès se cachent les faux mouvements de toute relation sans réciprocité. Ce roman est la caricature effrayante de moments que nous connaissons tous : ceux où nous voulons plus que l’autre. »
Catherine Voyer-Léger, Nuit blanche
« Marianne est une jeune femme seule. Trop seule. Lorsqu’elle croise Éléonore, Marianne décide qu’elles seront les meilleurs amies du monde, même si elles ne se connaissent pas du tout. Dans cette amitié à sens unique qui n’a aucun sens pour Éléonore, on découvre une relation curieuse, parfois touchante, mais plus souvent rude et abrupte. On sent le malaise grandir et on est curieuse de voir où cela les mènera. Un premier roman fort réussi. »
Julie Roy, Coup de pouce
« Ce premier roman d’Andrée A. Gratton repose sur le sentiment oppressant d’une humiliation imminente. Comme dans Hosanna de Michel Tremblay, notre lecture est tendue dans l’appréhension du moment où la mesquinerie va exploser pour mordre les jarrets de la naïveté. Il est difficile de refuser notre empathie à Marianne malgré sa quête monomaniaque, sans doute parce que derrière ses excès se cachent les faux mouvements de toute relation sans réciprocité. Ce roman est la caricature effrayante de moments que nous connaissons tous : ceux où nous voulons plus que l’autre. »
Catherine Voyer-Léger, Nuit blanche
Voir aussi

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