Prix et mentions
Grand Prix Yambo-Ouologuem 2010
Parution : 2010
144 pages
Version papier : ISBN 9782890242029 – 20,95 $
Version PDF : ISBN 9782890243019 – 15,99 $
Version ePub : ISBN 9782890243606 – 15,99 $
La Maison du Néguev
Une histoire palestinienne
Collection «PLUME»
Suzanne El Farrah El Kenz relate dans ce récit émouvant, mené dans une langue alerte et sobre, l'histoire de son exil et, notamment, le retour avec son fils vers une certaine maison du Néguev située aux proches limites de Ghazza. C'est la maison natale de sa mère défunte à laquelle sont attachés tant de souvenirs rendus douloureux par la spoliation.
Écrit comme un journal, à la première personne du singulier, La Maison du Néguev offre le regard d'une femme qui sait croquer la grande histoire en deux mots et trois images, sans dramatisation ni pathos, sur le ton de la confidence tranquille ou apaisée, avec autant de gravité et de pertinence que d'humour.
(L'auteure, qui est aussi professeur de langue arabe et qui a vécu les trois premières années de sa vie à « Ghazza », choisit d'écrire « Ghazza » avec un « h » et deux « z », parce que cette transcription graphique est plus fidèle à l'arabe sur le plan phonétique. Le lieu est aussi un nom.)
Écrit comme un journal, à la première personne du singulier, La Maison du Néguev offre le regard d'une femme qui sait croquer la grande histoire en deux mots et trois images, sans dramatisation ni pathos, sur le ton de la confidence tranquille ou apaisée, avec autant de gravité et de pertinence que d'humour.
(L'auteure, qui est aussi professeur de langue arabe et qui a vécu les trois premières années de sa vie à « Ghazza », choisit d'écrire « Ghazza » avec un « h » et deux « z », parce que cette transcription graphique est plus fidèle à l'arabe sur le plan phonétique. Le lieu est aussi un nom.)
Échos des médias
« Après Darwish, il est difficile à tous de parler de cette terre blessée et de l'exil forcé de ses habitants. Suzanne en parle avec une intelligence aiguisée, une sensibilité retenue, une émotion communicative. Certains passages coupent le souffle par leur poésie. Le ton est juste, toujours juste. Suzanne ne gémit ni ne se plaint. Elle n'est pas dans la jérémiade mais dans une histoire, la sienne. À aucun moment elle ne nous parle de politique, jamais, mais la société est là, vivante, sous les petites anecdotes du voyage, sur les invitations, sur les amitiés ou les inimitiés, etc. Nous sortons de La Maison du Néguev avec le sentiment que nous en savons un peu plus sur les hommes et les femmes de cette terre palestinienne. »
Mohamed Bouhamidi, allAfrica.com
« Avec La Maison du Néguev, son premier roman, Suzanne El Farrah El Kenz signe un chant d'adieu bouleversant, un chant d'amour aussi, à la terre de Palestine. Écrit dans un style alerte où alternent description, introspection et méditation, La Maison du Néguev est porté par un inégalable plaisir de raconter. »
Suzanne Giguère, Le Devoir
Mohamed Bouhamidi, allAfrica.com
« Avec La Maison du Néguev, son premier roman, Suzanne El Farrah El Kenz signe un chant d'adieu bouleversant, un chant d'amour aussi, à la terre de Palestine. Écrit dans un style alerte où alternent description, introspection et méditation, La Maison du Néguev est porté par un inégalable plaisir de raconter. »
Suzanne Giguère, Le Devoir
Voir aussi
Captif, de roses enchaîné
Collection «Traduction»
474 pages
Parution : 2001
28,95 $
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