Les Filets
Collection «Littérature»
Par fines touches allusives, Désirée Szucsany construit la toile de fond des huit nouvelles de ce recueil. Tout y semble harmonieux : dans une gare, un homme attend ; une femme reçoit quatre visiteurs ; un convalescent se repose au bord de la mer ; une petite fille s'égare ; c'est le printemps, on vend des fleurs au coin d'une rue. Puis voilà que s'emballe la machine. La réalité bascule. Le filet glisse entre nos doigts, faisant surgir l'inavouable.
Échos des médias
« Vous y trouverez du rêve, du quotidien et de l'excès bien dosés, beaucoup de douceur et d'attention aux êtres, les simples et les rares, et un brin de cruauté, juste ce qu'il faut. »
François Hébert, Le Devoir
« Une écriture du regard, descriptive surtout, neutre en apparence. Il ne faut pas s'y fier. La rue, la gare, la mer. Tout paraît vivre dans la parfaite évidence des choses. L'odeur du basilic, la tache vibrante d'une fleur, le sable tiède sur la peau. Des riens, vraiment. Puis quelque chose, ou quelqu'un, vient troubler cette vaste harmonie. [...] Le regard de l'écrivain devient complice du drame qui a lieu, qui pourrait avoir lieu. On referme le livre comme on referme la fenêtre. L'art est un beau spectacle. »
Réginald Martel, La Presse
François Hébert, Le Devoir
« Une écriture du regard, descriptive surtout, neutre en apparence. Il ne faut pas s'y fier. La rue, la gare, la mer. Tout paraît vivre dans la parfaite évidence des choses. L'odeur du basilic, la tache vibrante d'une fleur, le sable tiède sur la peau. Des riens, vraiment. Puis quelque chose, ou quelqu'un, vient troubler cette vaste harmonie. [...] Le regard de l'écrivain devient complice du drame qui a lieu, qui pourrait avoir lieu. On referme le livre comme on referme la fenêtre. L'art est un beau spectacle. »
Réginald Martel, La Presse
Voir aussi
Puis nous nous sommes perdus de vue
Collection «PLUME»
160 pages
Parution : 2017
21,95 $
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