Prix et mentions
Finaliste au Grand Prix de la ville de Montréal 1997
Parution : 2001
246 pages
Version papier : ISBN 9782890241398 – 23,95 $
Version PDF : ISBN 9782890242524 – 17,99 $
Version ePub : ISBN 9782890243293 – 17,99 $
L'Échelle de Jacob
Traduit de l'anglais par Ivan Steenhout.
Collection «Traduction»
Collection «Traduction»
Jacob Glassman, chroniqueur dans un journal local, est un célibataire endurci. Il vit seul à Court Séjour, une petite ville de la banlieue nord de Montréal. Une existence bien tranquille qui lui plaît, car il n'aime pas le changement. Très vite cependant, la femme de son meilleur ami se retrouve dans son lit. Dès ce moment, ses ennuis avec le voisinage commencent et se multiplient... Déconcerté, Jacob se retrouve aux prises avec les manigances d'un agent immobilier, les problèmes sexuels de son rédacteur en chef, les discours d'un psy obèse et le prosélytisme d'un jeune rabbin qui lui en veut depuis l'enfance.
L'Échelle de Jacob est une comédie romanesque écrite sous la forme d'un journal. Un roman à l'humour décapant, plein d'esprit, de dialogues cocasses et d'observations amusantes sur les charmes et les travers de la vie de banlieue, et toutes les secrètes intrigues amoureuses qui s'y déroulent.
L'Échelle de Jacob est une comédie romanesque écrite sous la forme d'un journal. Un roman à l'humour décapant, plein d'esprit, de dialogues cocasses et d'observations amusantes sur les charmes et les travers de la vie de banlieue, et toutes les secrètes intrigues amoureuses qui s'y déroulent.
Échos des médias
« C'est une comédie de murs, et une comédie tout court aussi, sortie de la plume d'un homme connu pour son humour juif classique, son côté Woody Allen. [...] Yanofsky a réussi à transformer Laval en territoire littéraire, avec tous les mystères et toutes les complications propres à un tel lieu. »
David Homel, La Presse
« Joel Yanofsky a trouvé un ton irrésistible, fait d'une ironie légère mais qui ne tourne jamais à vide, pour croquer le portrait de cet «orphelin vieillissant», puceau à trente-cinq ans, toujours à la remorque des femmes mais incapable de les satisfaire. Un héros aussi attachant que ridicule dans ses tergiversations, que n'aurait pas renié un Woody Allen. »
Marie Labrecque, Voir
David Homel, La Presse
« Joel Yanofsky a trouvé un ton irrésistible, fait d'une ironie légère mais qui ne tourne jamais à vide, pour croquer le portrait de cet «orphelin vieillissant», puceau à trente-cinq ans, toujours à la remorque des femmes mais incapable de les satisfaire. Un héros aussi attachant que ridicule dans ses tergiversations, que n'aurait pas renié un Woody Allen. »
Marie Labrecque, Voir
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